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ActiveX : un contrôle ActiveX est en fait un composant COM (donc technologie Microsoft), mais il se doit de pouvoir être visuellement manipulable via un atelier d’assemblage de composants. ActiveX permet d’obtenir la même productivité d’utilisation d’un composant logiciel que celle que l’on peut avoir avec un générateur d’IHM (Interface Homme/Machine). L’atelier Visual Basic (en autre) permet d’assembler de tels composants, non forcément visuels. ATTENTION, les composants non forcément visuels se doivent d’être visuellement manipulables : les programmeurs Visual Basic pourront penser à l’exemple du timer.

Anti-virus informatique : programme capable de déceller la présence de virus, et souvent, de les détruire.

ARPANET (Advanced Research Projects Agency NETwork) : réseau informatique militaire américain né dans les années 70. Il est à l’origine du réseau Internet.

ASCII (American Standard Code for Information Interchange) : système de codage de caractères. Dans la table ASCII seuls 128 (27) caractères sont définis. En effet, le dernier bit servait de bit de signe (pour des vérifications) à une époque ou les transferts réseaux étaient peu sûr. Depuis, de nouveaux standards sont venus étendre ASCII en utilisant de dernier bit.

ASP (Active Server Pages) : le système ASP fait partie du logiciel serveur IIS (Internet Information Server) de Microsoft. Il permet de pouvoir traiter des scripts présents dans le document HTML (ou XML) à renvoyer au client Ces scripts sont traités sur le serveur et se substituent au final par du code compréhensible par le client. ASP étant compatible avec le modèle COM (Component Object Model), il permet quasiment toutes les manipulations possibles et imaginables (accès aux bases de données, envoie de mail, …).

ASP .NET : cette évolution d’ASP est en fait, la réponse de Microsoft aux JSP de SUN. Les deux systèmes sont, en effet, similaires sur bien des aspects. L’aspect principal à retenir est que les différentes pages d’un site ASP .NET sont compilées en une dll (Dynamic Linking Library) qui sera exécutée par le serveur Web (IIS).

Base de données : unité logique permettant un rassemblement de données utilisables par un ensemble de personnes. Cette unité logique regroupe de multiples sous-unités, elles physiques, pouvant être locales ou distribuées. Pour plus d’informations, reportez vous au cours sur les bases de données.

Bit (Binary digIT) : un bit est la plus petite unité de stockage en informatique. Un bit peut coder deux états (l’état vrai ou l’état faux). Huit bits constituent un octets (soit 256 états possibles 28).

C : langage de programmation crée par Brian W. Kernighan et Dennis M. Ritchie au début des années 70. Il fait office, à l’heure actuelle, de langage « universel ». En effet il est parmis les langages les plus utilisés, ce quelques soient les domaines d’application et les machines utilisées. Un cours sur le langage est disponible au sein de l’Infini.

C++ : langage orienté objet définit en tant qu’extension du langage C (d’où les signes ++) par Bjarne Stroustrup en 1983.

Callback : en français, nous parlons de procédure de rappel. Il s’agit d’une procédure (ou d’un fonction) qui est appelée automatiquement par le système à des moments bien déterminés. Les gestionnaires d’évènements d’une quelconque librairie peuvent être considérés comme étant des procédures de rappels.

CD-ROM (Compact Disc Read Only Memory) : sur ce type de support (disque laser), seule la lecture des données est possible, le disque ayant été gravé définitivement.

CGI (Common Gateway Interface) : définie comment un service HTTP peut invoquer un exécutable présent sur le poste serveur. Pour ce faire, le passage de paramètres et la récupération d’un résultat ont été standardisés. Cela se fait via les flots d’entrée et de sortie de l’application. Quasi n’importe quel langage de programmation peut donc être utilisé pour créer un programme CGI (C, C++, Java, Perl, …). CGI pose un problème : chaque requête cliente lance une instance de l’exécutable, ce qui augmente le nombre de processus lancés sur le poste serveur. Comme un processus consomme des ressources sur la machine, une augmentation du trafic augmente la charge du processeur voir écroule sa charge.

Clavier : cet élément familier d’un ordinateur permet de saisir les données et les ordres de l’utilisateur.

Component Object Model (COM) : ce standard est propriétaire de la société Microsoft. Ce modèle permet de faire communiquer des objets (au sens de la programmation orientée objets) les uns avec les autres. Jusque là rien de miraculeux dans le sens où un simple compilateur le permet. Mais là où le modèle COM est intéressant, c’est que les différents objets constituant une application peuvent être codés via différents langages de programmation supportant COM (Visual C++, Visual Basic, Visual J++, Visual Fox Pro, JScript, VBScript, … En fait, COM spécifie comment un appel de méthode va pouvoir se réaliser en unifiant (dans une certaine mesure) les types de données utilisés par les langages. Ce n’est à priori pas au programmeur de garantir que son objet respecte le modèle COM, mais au compilateur utilisé.

CORBA (Common Object Request Broker Architecture) : modèle permettant l’invocation de méthodes sur objets distants. Ce mécanisme est le principal utilisé lors de l’écriture d’applications distribuées. CORBA est accessible par différents langages de programmation (C++, Java, Visual Basic, …). RMI (Remote Method Invocation), proposé par Sun Microsystem, est en fait une sous spécification de CORBA.

CPU (Central Processing Unit) : on parle aussi de processeur. Il s’agit du cerveau de la machine. C’est lui qui traite les instructions machines permettant à tous programmes de s’exécuter.

CSS (Cascading Style Sheet) : langage utilisé sur Internet pour pouvoir rendre l’apparance visuelle des pages HTML très facilement évolutive.

DCOM (Distributed COM) : modèle Microsoft qui, sur les grandes lignes, est équivalent à CORBA.

Disque dur : unité de stockage la plus largement utilisée (quasiment tous les ordinateurs en possèdent). Les diques durs présentent l’avantage d’avoir un temps d’accès rapide aux informations tout en proposant des espaces de stockage important.

Disquette : unité de stockage amovible est de faible capacité. Il existe plusieurs modèles de disquettes : elles diffère notamment par leur taille et leur capacité.

DLL (Dynamic Linking Library) : librairie à chargement dynamique, en français. Une dll est un fichier de code similaire à un exécutable. Cependant, une dll ne peut pas démarrer seule. Elle est obligatoirement chargée par un exécutable. Cela permet de pouvoir partager du code pour différentes applications.

DOM (Document Object Model) : un ensemble d’interfaces définissant comment on accède à un document HTML par l’intermédiaire de scripts clients. Les navigateurs modernes (à partir de IE 4.0 et de Netscape 6.0) respectent le DOM. De plus, selon le navigateur utilisé, un ou plusieurs langages de scripts permettent d’exploiter le DOM pour créer des effets dynamiques sur le poste client.

Ecran : il est utile pour que l’utilisateur puisse visualiser le résultat de ses actions sur la machine.

Génie logiciel : sous partie de l’informatique qui à pour tache l’étude des techniques visants à réduire les coûts de productions de logiciels informatiques. Une section complète sera ultérieurement dédiée à cette activité au sein de l’Infini.

GIF (Graphics Interchange Format) : ce format d’image permet de définir une image possédant au maximum 256 couleurs (codage sur 8 bits), avec la possibilité de spécifier une couleur dite transparente (tout point de cette couleur ne sera pas affiché, laissant ainsi la possibilité d’avoir un fond). De plus, ce format utilise un algorithme de compression de données : la compression LZW. L’extension de ces fichiers est « .gif ».

HTML (HyperText Markup Language) : langage de description de documents hypertextes présents sur le Web (comme celui que vous êtes en train de lire). Pour introduire un élément du document, on utilise la notion de tags (aussi appelés marques, ou encore balises). Un document HTML est souvent couplé à une feuille de style CSS. Le principal problème d’HTML est que les données sont malgré tout liées à des aspects de présentation sur un navigateur. Malgré cela, HTML est aujourd’hui un langage incontournable du Web.

HTTP (HyperText Transfert Protocol) : protocole de transport (de niveau applicatif) permettant d’échanger des documents. Par HTTP, transitent aujourd’hui beaucoup de documents HTML. Le nombre de pages HTML présentes sur le Web s’exprime aujourd’hui en milliards. De plus en plus de données XML sont aussi transitées via ce protocole.

IDE (Integrated Development Environment) : environnement de développement intégré.

Informatique : Science qui a but le traitement de l’information.

Internet : à ce jour, le plus grand réseau télématique du monde. On y trouve toutes sortes de données (texte, audio, vidéo, …) sur quasiment tout les sujets imaginables.

J2EE (Java 2 Enterprise Edition) : cette distribution de Sun Microsystem fournit en fait un serveur d’applications métiers (Middleware). Il existe de nombreuses autres implémentations faites par des sociétés tierces (IBM Web Sphère, …).

Java : langage de programmation orienté objet.

Java Bean : technologie de Sun Microsystem équivalente sur les grandes lignes, à la technologie ActiveX de la société Microsoft. La solution Java présente l’avantage de ne pas être dépendante d’une entité tierce, comme l’est COM (et donc ActiveX). En effet, le modèle COM requière la base de registre du système Windows.

Javascript : langage de script utilisé principalement par les outils de navigation dans le réseau Internet.

Jpeg (Join Photographic Experts Group) : format d’image, utilisant un algorithme de compression de données avec perte de données. Cependant, dans le cas d’une photographie, ce format est une solution très acceptable. L’extension de ces fichiers et soit « .jpg », soit « .jpeg ».

JSP (Java Server Pages) : dans une certaine mesure JSP est proche d’ASP. Mais un point crucial sépare les deux modèles : les pages ASP sont interprétées. La page JSP est transformée à la première demande en une Servlet Java qui elle sera compilée. Les requêtes ultérieures seront donc bien plus performantes.

Lecteur : il existe plusieurs catégories de lecteurs qui permettent de lire et d’écrire des données sur des supports de stockage variés. On trouve ainsi des lecteurs de disquettes, de CD-ROM, de bande magnétiques, de cartes perforées (quasiment plus utilisés), …

Mémoire : c’est ici qu’on place les programmes en cours d’exécution. De même, on y place les données en cours de traitement. Elle constitue un facteur d’accélération non négligeable, étant donné que les temps d’accés à cette dernière, sont très inférieurs à ceux des autres supports de stockage (disques durs, et lecteurs divers).

Microprocesseur : c’est ma pièce maîtresse de l’ordinateur. C’est lui qui effectue chaque calcul, qui exécute chacun des ordres que constitue un programme.

Pascal : langage de programmation procédural conçut par Niklaus Wirth entre 1967 et 1971. Ce langage est tout à fait adapté, de part sa simplicité et sa clarté, pour apprendre à programmer. Le langage dérive d’Algol auquel il ajoute de nombreux concepts.

PHP (Hypertext PreProcessor) : c’est un mécanisme très proche d’ASP mais qui est plutôt utilisé sur plate-formes UNIX/LINUX. Malgré cela, PHP peut être supporté sur une machine Windows. Dans les deux cas (ASP ou PHP), l’inconvénient majeur réside dans le fait que chaque requête cliente lance une interprétation de la page à renvoyer au client. Cela peut s’avérer lourd, mais au final, les performances sont souvent meilleures qu’avec CGI.

Pixel : (abréviation de picture elements) définit un point élémentaire de votre écran. En fait l’image que vous regardez sur votre écran est constituée de plusieurs pixels (généralement 800*600, 1024*768 ou 1600*1200). Plus vous avez de pixels, plus votre image est fine et agréable à regarder (bien que le nombre de couleurs utilisables soit aussi une caractéristique importante).

Programme : succéssion d’ordres basiques qui globalement permet de résoudre des problèmes complexes. Tout programme est décrit par un langage de programmation.

R5RS (Revised5 Report on the algorithmic language Scheme) : cinquième rapport de révision du langage algorithmique Scheme.

RFC (Request For Comments) : un tel document définit un standard sur Internet. Ils sont identifié par un numéro. Ainsi, la RFC 822 définit un e-mail, les RFC 1738 et 1808 définissent ce qu’est une URL. Vous pouvez consulter toutes les RFC sur le site de l’IETF (Internet Engineering Task Force) à l’URL suivante : http://www.ietf.org/rfc/.

Scheme : langage de programmation fonctionnel symbolique (un des multiples déscendant de Lisp) définit par Guy Lewis Steele Jr et Gerald Jay Sussman en 1975. Une spécification du langage existe : R5RS.

Services Web : un service Web est en fait un composant logiciel fournissant ses services (ses méthodes) sur le réseau Internet (ou un réseau Intranet). Les Services Web sont décrits par une recommandation du W3C. Pour permettre l’utilisation du service, le protocole SOAP est utilisé, cela permet l’indépendance via un quelconque langage de programmation. Les services Web sont hébergés par un serveur Web, bien entendu.

Servlet Java : SUN Microsystem a été le premier à avoir l’idée d’exécuter du code compilé (plus rapide qu’un script interprété) sur un serveur Web, mais en garantissant qu’il soit stocké dans un fichier à chargement dynamique (les fichiers .class équivalent des .dll sous Windows). L’intérêt étant que l’exécution de ce code ne lance pas un nouveau processus : au final, on restreint d’autant plus la charge du CPU, comparé à CGI ou même ASP et PHP). Une servlet Java se présente sous forme de classe Java. Dans son code, on retrouvera des instructions utilisées pour générer un flux de données HTML (ou XML).

SGBD (Système de Gestion de Base de Données) : outil permettant la gestion d’une base de données.

SOAP (Simple Object Access Protocol) : modèle décrit par une recommandation du W3C permettant l’appel de méthodes sur un objet distribué sur le réseau Internet. Les paramètres nécessaires à l’appel sont transférés via le protocole HTTP (par de soucis de Firewall ou de Proxy) par un message XML. SOAP est la pierre angulaire des Service Web. Comparé à CORBA ou à DCOM, l’utilisation de SOAP est infiniment plus simple à mettre en œuvre.

Souris : cet élément, non vital, rend tout de même de très grands services dans tout ce qui touche à la saisie des données.

SQL (Structured Query Language) : langage de requète structuré utilisé pour l’intérrogation des bases de données de type relationnelles.

SSI (Server Side Include) : inclusion de code que l’on place dans un document HTML, afin que des traitements puisse être effectués au sein de la machine serveur (d’ou le nom).

UML (Unified Modeling Language) : attention, UML n’est pas une méthodologie. D’ailleurs UML est indépendant d’une quelconque méthode (OMT (Object-Modeling Technique), RUP (Rational Unified Process), MSF (Microsoft Solution Framework), …). UML est adapté à un processus de développement dirigés par les cas d’utilisations, itératif et incrémental. UML est un formalisme graphique (un langage graphique) permettant, via la notion de diagrammes, de représenter le système logiciel à concevoir, durant toutes les phases du processus de développement. Pour synthétiser les choses on pourrait dire un petit dessin vaut mieux qu’un long discours.

UML permet d’exprimer les besoins du système à concevoir, d’analyser, de concevoir, d’initier la phase de codage, de déterminer (dans une certaine mesure) les jeux de tests, et donc aussi de générer une documentation complète de la solution logiciel finale. Des AGL (Atelier de Génie Logiciel) très avancés prennent en charge UML.

Il est important de mémoriser qu’UML permet, via un AGL (tel que l’outil Rational Rose) de :

Générer une partie du code du logiciel à concevoir (à certains éléments syntaxiques UML, on peut faire correspondre des motifs de code, pour un langage donné).

Générer une documentation sur la totalité du processus de développement (les éléments de cette documentation se devant d’être fournis durant toutes les phases du développement).

Unicode : table universelle de correspondance entre code numérique et caractères. par les 128 premières valeurs, la table Unicode est basée sur la table ASCII. La table Unicode utilise deux octets par code : il est donc possible de définir 65536 caractères différents, chacun d’entre ayant un code universel. Si vous souhaitez voir à quoi ressemble cette table..

Unité centrale : elle contient les éléments vitaux de l’ordinateur. On y trouve : microprocesseur, la mémoire, les supports de stockage (disques durs, et divers lecteurs).

URL (Uniform Ressource Locator) : ensemble de données permettant de localiser un fichiers ou un service n’importe ou sur le réseau Internet.

Virus informatique : programme parasite pouvant prendre le contrôle de certaines parties de la machine hôte et capable de se dupliquer. Il existe tout naturellement des anti-virus pour enrayer leur progression.

VRML (Virtual Reality Modeling Language) : langage de description de scènes tri-dimensionnelles.

WYSIWYG (What You See Is What You Get) : se dit d’un logiciel permettant l’édition d’un document de manière identique à ce que l’utilisateur final verra.

XML (eXtensible Markup Language) : en fait un « meta-language » permettant de structurer des données sans décrire comment ces dernières seront éventuellement présentées. XML pourrait, en caricaturant les choses, se placer entre HTML et SGML (Standard Generalized Markup Language). En réalité, HTML s’est transformé en XHTML (eXtensible HTML). XHTML est un sous-ensemble d’XML qui lui-même est un sous-ensemble de SGML. Pour de plus amples informations sur le langage XML.

XSL (eXtensible Stylesheet Language) : un mécanisme de feuilles de style permettant de présenter des données XML. En réalité les choses sont plus subtiles. XSL est en fait un processeur de texte. Un petit peu comme le pré-processeur du langage C, si vous connaissez. Via une « feuille de style » XSL (pour autant qu’on puisse parler de feuille de styles) on transforme des données décrites dans un langage XML en données décrites dans un autre langage XML. Si le langage XML final est par exemple XHTML, les données peuvent alors être affichées dans un navigateur. Mais si l’on pousse le modèle, nous pouvons aller bien plus loin que cela.

Glossaire des termes de l’informatique : Enjeux de la sécurite informatique , La Cryptologie , VPN « Virtual Private Network » , CMS « Content Management System », Hébergement de sites Internet

Source : infini-fr